Doctorante en sciences physiques, Manel Matoussi (25ans) vit entre Tunis et Reims, mais elle excelle dans un autre domaine: Le mannequinat. Un métier? Non, c'est plutôt un hobby pour elle. On va découvrir le parcours de cette jeune tunisienne qui espère devenir un top modèle incontournable. Interview.
À quel âge avez-vous commencé les shootings? Comment vous gérez votre temps entre les études et le mannequinat?
Mon premier shooting était à l'âge de 19 ans.
Décrivez-nous votre parcours?
La vérité c'est que je ne me considère pas comme un modèle. Tout a commencé lorsque j'ai été repéré par un photographe qui m'a ensuite proposé une séance photos. Mes débuts étaient avec Marwen Okbi et ensuite j'ai posé pour le talentueux Nabil Zouari. Le mannequinat c'était juste un moyen pour arrondir les fins des mois, je n'étais jamais destinée à faire ce que je fais aujourd'hui, mais après j'ai adoré l'ambiance et l'entourage et cette transition était très excitante. Comme si j'entamais une nouvelle aventure.
Est-il facile d'être mannequin en Tunisie?
Oui, il y a une évolution remarquable au niveau de la mentalité par rapport aux années précédentes. Les gens commencent à comprendre et surtout à accepter ce métier.
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Avez-vous rencontré des difficultés?
Non, pas vraiment. On m'a beaucoup aidé. Je suis indépendante depuis quatre ans, pas de contrat avec des agences ce qui me permet plus de liberté avec les clients.
Avez-vous collaboré avec de grandes marques?
Oui, j'ai posé pour une grande marque allemande et j'étais très satisfaite de cette expérience.
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Etes-vous intéressée par la publicité?
Oui, le vécu et la connaissance du milieu du mannequinat sont des atouts pour réussir. Cela me permettra d'improviser et d'exploiter mes compétences devant une caméra.
On sait qu'il y a plusieurs agences qui recrutent les mannequins. Pouvez-vous nous donner plus de détails sur ces "castings"?
Il y a des agences qui ne sont que des arnaqueurs. Leur but consiste à profiter le maximum des participantes. Il faut se méfier à ce niveau-là.
Que pensez-vous de ce milieu?
C'est un milieu très spécial. Il faut avoir une très forte personnalité car une jolie frimousse ne suffira pas. Il y a des milliers de jolies filles. La confiance en soi et la volonté sont les éléments indispensables pour la réussite.
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Quels conseils donneriez-vous aux jeunes filles qui veulent se lancer dans ce domaine?
Aimer ce métier et avoir confiance en soi et aussi il faut beaucoup de vigilance pour distinguer entre les gens qui veulent aider et ceux qui ne sont que des arnaqueurs.
Un mannequin c'est avant tout une multiplicité de personnages, car les photos nous dévoilent plusieurs côtés d'une seule personnalité. Qu'en pensez-vous?
Sur les photos, je n'ai pas du tout l'impression que c'est moi. Le métier de mannequin est basé sur les apparences. C'est pour cela, j'aimerai me concentrer sur ma véritable personnalité.
Comment voyez-vous votre avenir dans 10 ou 15 ans?
Impossible d'être mannequin toute sa vie. Pourtant, on peut rester dans le domaine et exercer d'autres taches. Personnellement, je vais me concentrer sur mes recherches.
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À quel âge avez-vous commencé les shootings? Comment vous gérez votre temps entre les études et le mannequinat?
Mon premier shooting était à l'âge de 19 ans.
Décrivez-nous votre parcours?
La vérité c'est que je ne me considère pas comme un modèle. Tout a commencé lorsque j'ai été repéré par un photographe qui m'a ensuite proposé une séance photos. Mes débuts étaient avec Marwen Okbi et ensuite j'ai posé pour le talentueux Nabil Zouari. Le mannequinat c'était juste un moyen pour arrondir les fins des mois, je n'étais jamais destinée à faire ce que je fais aujourd'hui, mais après j'ai adoré l'ambiance et l'entourage et cette transition était très excitante. Comme si j'entamais une nouvelle aventure.
Est-il facile d'être mannequin en Tunisie?
Oui, il y a une évolution remarquable au niveau de la mentalité par rapport aux années précédentes. Les gens commencent à comprendre et surtout à accepter ce métier.

Avez-vous rencontré des difficultés?
Non, pas vraiment. On m'a beaucoup aidé. Je suis indépendante depuis quatre ans, pas de contrat avec des agences ce qui me permet plus de liberté avec les clients.
Avez-vous collaboré avec de grandes marques?
Oui, j'ai posé pour une grande marque allemande et j'étais très satisfaite de cette expérience.

Etes-vous intéressée par la publicité?
Oui, le vécu et la connaissance du milieu du mannequinat sont des atouts pour réussir. Cela me permettra d'improviser et d'exploiter mes compétences devant une caméra.
On sait qu'il y a plusieurs agences qui recrutent les mannequins. Pouvez-vous nous donner plus de détails sur ces "castings"?
Il y a des agences qui ne sont que des arnaqueurs. Leur but consiste à profiter le maximum des participantes. Il faut se méfier à ce niveau-là.
Que pensez-vous de ce milieu?
C'est un milieu très spécial. Il faut avoir une très forte personnalité car une jolie frimousse ne suffira pas. Il y a des milliers de jolies filles. La confiance en soi et la volonté sont les éléments indispensables pour la réussite.

Quels conseils donneriez-vous aux jeunes filles qui veulent se lancer dans ce domaine?
Aimer ce métier et avoir confiance en soi et aussi il faut beaucoup de vigilance pour distinguer entre les gens qui veulent aider et ceux qui ne sont que des arnaqueurs.
Un mannequin c'est avant tout une multiplicité de personnages, car les photos nous dévoilent plusieurs côtés d'une seule personnalité. Qu'en pensez-vous?
Sur les photos, je n'ai pas du tout l'impression que c'est moi. Le métier de mannequin est basé sur les apparences. C'est pour cela, j'aimerai me concentrer sur ma véritable personnalité.
Comment voyez-vous votre avenir dans 10 ou 15 ans?
Impossible d'être mannequin toute sa vie. Pourtant, on peut rester dans le domaine et exercer d'autres taches. Personnellement, je vais me concentrer sur mes recherches.


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