Monsieur Benkirane,
Vous êtes à nouveau là, les urnes en ont décidé ainsi, je vous en félicite.
J'ai profité de la journée marocaine de la femme, ce 10 octobre où le roi vous a reçu, pour me rappeler à votre souvenir et vous dire que nous sommes là, fermement attentives nous les femmes, toutes les femmes de ce pays, médecins, ingénieurs, professeurs, ouvrières, paysannes, dans l'attente des décisions que vous engagerez pour nous.
Si, pour ma part, je n'étais de vos meetings, j'ai vu des femmes en grand nombre vous écouter, vous applaudir, faire un long chemin pour vous faire parvenir là où vous êtes. Je suis certaine que le souvenir de leur image, celui de leur fidélité et de l'espoir qui faisait briller leurs yeux, ne vous quittera pas.
Oui monsieur le chef du gouvernement, ces femmes qui vous ont applaudi, et toutes les autres, voilées et non voilées, ont, à différentes échelles des problèmes de toutes sortes. Elles souffrent d'inégalités multiples, d'injustices, de harcèlement. Leur dossier est ouvert mais il reste à approfondir, à traiter comme il le mérite. Les femmes subissent des violences, il faut y mettre un terme. Les femmes souffrent en tant que diplômées ou non, en tant que fonctionnaires ou femmes de ménages.
Il vous revient, au nom de l'appui que vous en avez reçu, au nom du droit et de la dignité humaine, de veiller à renforcer les lois qui les protègent. Il ne faut pas leur tourner le dos dès qu'elles ont mis leurs bulletins de vote dans l'urne, parce qu'elles ne vont pas oublier, parce qu'elles subissent les pressions et vivent l'inégalité dans leur chair, dans leur vie, dans leurs espoirs souvent brisés.
Soyez à la hauteur de la confiance que les femmes ont placée en vous.
Vous êtes à nouveau là, les urnes en ont décidé ainsi, je vous en félicite.
J'ai profité de la journée marocaine de la femme, ce 10 octobre où le roi vous a reçu, pour me rappeler à votre souvenir et vous dire que nous sommes là, fermement attentives nous les femmes, toutes les femmes de ce pays, médecins, ingénieurs, professeurs, ouvrières, paysannes, dans l'attente des décisions que vous engagerez pour nous.
Si, pour ma part, je n'étais de vos meetings, j'ai vu des femmes en grand nombre vous écouter, vous applaudir, faire un long chemin pour vous faire parvenir là où vous êtes. Je suis certaine que le souvenir de leur image, celui de leur fidélité et de l'espoir qui faisait briller leurs yeux, ne vous quittera pas.
Oui monsieur le chef du gouvernement, ces femmes qui vous ont applaudi, et toutes les autres, voilées et non voilées, ont, à différentes échelles des problèmes de toutes sortes. Elles souffrent d'inégalités multiples, d'injustices, de harcèlement. Leur dossier est ouvert mais il reste à approfondir, à traiter comme il le mérite. Les femmes subissent des violences, il faut y mettre un terme. Les femmes souffrent en tant que diplômées ou non, en tant que fonctionnaires ou femmes de ménages.
Il vous revient, au nom de l'appui que vous en avez reçu, au nom du droit et de la dignité humaine, de veiller à renforcer les lois qui les protègent. Il ne faut pas leur tourner le dos dès qu'elles ont mis leurs bulletins de vote dans l'urne, parce qu'elles ne vont pas oublier, parce qu'elles subissent les pressions et vivent l'inégalité dans leur chair, dans leur vie, dans leurs espoirs souvent brisés.
Soyez à la hauteur de la confiance que les femmes ont placée en vous.
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